Pouvez-vous nous parler de votre parcours avant IMERIR ?
J’ai fait quelques petits jobs, dans différents domaines, mais également dans l’informatique. Puis j’ai travaillé dans une célèbre chaîne de Fast-Food. C’était un job qui ne me correspondait absolument pas. Je sentais que j’avais du potentiel pour “faire mieux” et pour faire un travail plus intellectuel, malgré mon âge (26 ans). Le système dans ce genre d’entreprise est fait pour que l’on reste au maximum, et je ne m’y sentais pas bien. Et il n’est pas forcément évident non plus de savoir dans quel domaine on souhaite s’investir, surtout quand on est curieux de nature et qu’on s’intéresse à beaucoup de choses.
Du coup, j’ai commencé à essayer la programmation grâce à des tutos sur internet, et ça m’a plu.
Et puis après, c’est allé très vite, en 2 ans, j’ai fait une formation de niveau Bac+2 de Développeur Logiciel et une formation de niveau Bac+4 pour Concepteur Développeur Informatique. Ces 2 formations ont été faites en alternance, donc ca me permettait d’avoir un pied dans l’entreprise.
L’expérience de l’alternance m’a franchement plu, du coup j’ai décidé d’aller plus loin avec la formation Manager des Systèmes Informatiques et Robotique (MSIR) de l’IMERIR. Et c’est, grâce au partenariat que l’IMERIR a mis en place, que j’ai pu faire un double diplôme et obtenir un Master Recherche d’Université en Intelligence Artificielle et Robotique. Et puis c’est plutôt rare de pouvoir faire un Master d’université tout en faisant une alternance. Donc c’était tout bénef’.
Pourquoi avoir choisi IMERIR pour vos études supérieures ?
D’une part, je tenais à faire de l’alternance. Je tenais également à faire une formation qui me permettrait de faire de la pratique. Leur Fablab reste tout de même un super point positif.
C’est une école qui reste tout de même super souple dans le fonctionnement. J’ai pu intégrer directement la deuxième année, donc c’est super.
Et puis je n’ai pas regretté l’équipe pédagogique, qui est super proche des élèves et enseigne bien. Leur double diplôme était aussi pour moi un critère de taille.
Quand avez-vous été diplômé ?
J’ai été diplômé en septembre 2020.
Comment se sont passées vos années en tant que Imérien ?
J’ai fait 2 ans à l’IMERIR. C’était top. Le format d’alternance (plusieurs mois consécutifs au lieu d’un rythme classique 2 semaines école / 2 semaines entreprise) m’a franchement plu et plaît aussi aux entreprises, car il permet d’aller plus loin dans les projets entreprises qui nous sont confiés.
Où avez-vous réalisé cette alternance ?
Dans l’entreprise CGI de Niort (Deux-Sèvres). J’ai été intégré au sein du Lab’IA où nous faisons des prototypes et intégrons de l’Intelligence Artificielle dans les process clients.
Comment va se dérouler vos prochains mois « après IMERIR » ?
Je vais continuer pour le moment avec CGI, car ils me proposent des sujets d’intelligence artificielle qui sont intéressants et qui permettent de monter en compétence sur ces technos.
Pouvez-vous me parler de votre évolution professionnelle ?
J’aimerais faire de la gestion de projet et monter suffisamment en compétence afin de pouvoir monter mon propre projet.
Où travaillez-vous aujourd’hui ?
Je suis aujourd’hui toujours au sein du Lab’IA de CGI pour le moment.
Quelles sont vos missions ?
J’ai pour mission d’implémenter différentes solutions utilisant des techniques d’IA afin de répondre aux besoins des clients.
Quels conseils donneriez-vous aux étudiants de l’IMERIR ?
Un conseil serait de faire en sorte si possible d’avoir un projet professionnel établi à la sortie d’école. Mais ce n’est pas grave de ne pas en avoir un, dès le début des études. Un projet pro met du temps à se construire et il évolue constamment.
Par ailleurs, les résultats que vous aurez à la sortie de l’école sont clairement corrélés avec votre implication personnelle. L’école ne peut que vous mettre dans de bons rails et vous apprendre les fondamentaux. Pour le reste, c’est à vous de jouer.
Etes-vous toujours en contact avec des anciens ?
Oui je suis toujours en contact avec des anciens de l’IMERIR avec qui on prend de temps en temps des nouvelles.